Ayumu est une jeune fille qui se mutile. À la suite d'une méprise, Manama croit que celle-ci veut lui voler son petit ami et se met à la martyriser. Mais grâce à l'amitié de Miki, elle affronte cette situation. Manama prétend, auprès de son père, subir des mauvais traitements au lycée. A la suite de ce mensonge, il se rend dans l'établissement et y fait un scandale. Ayumu n'y tient plus, et crie son innocence : "c'est moi qui suis persécutée ! ! ". Le père n'y croit pas, la classe est divisée. Cependant, Miki affirme que Ayumu ne ment pas, ce qui n'est pas sans émouvoir Hiro...
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Née le 23 mars 1979 à Kitakyushu dans la préfecture de Fukuoka au Japon, Keiko SUENOBU est une mangaka japonaise spécialisée dans les shôjos. Diplômée d'un parcours artistique à l'Université de Tsukuba, elle fait ses débuts en 1999 avec Happy Tomorrow, suivie de Vitamine en 2001, mais c'est véritablement Life (2003), une série aussi rebelle que son auteur, qui la révèle. Dans ses titres, et dans Life en particulier, Keiko SUENOBU n'hésite pas à aborder des thèmes délicats et tabous au Japon : mal-être des adolescents et harcèlement scolaire (ijime) conduisant à des comportements autodestructifs. Victime de ce genre de violence, Keiko SUENOBU relate avec beaucoup de sensibilité et de réalisme l'enfer quotidien de ces jeunes dans un récit poignant ; un véritable cri d'alerte.
Life est un tromphe : vendu à plus de 10 millions d'exemplaires rien qu'au Japon, il est adapté en drama en 2007 et reçoit de nombreux prix, comme celui du meilleur shôjo lors du 30e Prix du meilleur manga Kôdansha. Forte de ce succès, Keiko SUENOBU propose peu après Limit, prépubliée dans le Bessatsu Friend puis dans le Gekkan Afternoon de l'éditeur Kôdansha. La série assoit définitivement la notoriété de la mangaka qui, après une courte pause, signe en 2013 un titre toujours garant d'originalité : Hope. Aujourd'hui, Keiko SUENOBU se consacre à une séquelle de Life : Life 2 – Give Taker, abordant des thèmes encore différents mais toujours avec une extrême justesse.
Cette jeune rebelle a débuté sa carrière de mangaka en 1999 et ne cesse depuis de faire parler d'elle. Elle n'hésite pas à aborder des thèmes tabous au Japon : mal être et violences diverses et met en évidence les dangers de ces comportements autodestructifs. Victime de ce genre de violence, Keiko Suenobu relate avec beaucoup de sensibilité et de réalisme l'enfer quotidien de ces jeunes " ijimes *".
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