Riassunto:
Journal intime d'un condamné dans l'attente angoissée de son exécution, le Dernier Jour paraît anonymement en 1829. Trois ans plus tard, Victor Hugo le signe de son nom et le complète d'une préface à l'argumentation maîtrisée : ce roman est "un plaidoyer, direct ou indirect, comme on voudra, pour l'abolition de la peine de mort". En donnant à lire les pensées d'un être de chair et de sang promis à la guillotine, l'écrivain met à mal les arguments des plus fervents défenseurs de la peine capitale. Rarement fiction s'est faite plus éloquente : "Combien ont été sauvés parce que les jurés avaient lu Le Dernier Jour d'un condamné ? ", s'interrogera Robert Badinter. En 1981, s'inscrivant dans cet héritage, celui-ci fera voter l'abolition.
Dalla quarta di copertina:
Quelles sont les pensées de celui qui connaît la date et l'heure de sa mort ? Qu'est-ce que mettre sa plume au service d'une cause ?
Journal intime fictif d'un condamné dans l'attente angoissée de son exécution, Le Dernier Jour d'un condamné paraît anonymement en 1829. Trois ans plus tard, il est complété par Victor Hugo d'une préface qui ne laisse aucun doute sur les intentions de l'auteur : destiné à toucher son lecteur et l'obliger à prendre position sur un sujet qui traverse le XIXe siècle, ce roman « n'est autre chose qu'un plaidoyer, direct ou indirect, comme on voudra, pour l'abolition de la peine de mort ». Car, visionnaire, Victor Hugo en est convaincu : un jour viendra où cette barbarie cessera.
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